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Discussions sur la Bulgarie

J'ai très peu de voisins dans ma rue et il se trouve que le plus proche est un Rom ou un Turc, je ne sais pas exactement et ça n'a pas d'importance, je n'ai pas d' à priori.

Ce voisin très envahissant et omniprésent est toujours là à nous solliciter pour lui donner, j'ai bien dit donner, de l'argent pour ceci ou celà.

Dès les premiers jours de notre arrivée il nous demandait déjà 200 levas parce qu'il en avait besoin pour sa femme qui devait se faire opérer (vrai) nous bonnes âmes on lui a dit ok en échange d'un peu d'entretien de la propriété. mais l'herbe a bien poussé.

Une autre fois, c'est 100 Levas pour je ne sais plus quoi, ça nous gonfle mais on le fait;

Pendant l'été 2006, je suis descendue seule pour acheter un peu de mobilier et de matériel afin d'équiper un peu la maison avant l'arrivée trois semaines plus tard de mon fils qui venait passer quelques jours avec ses copains. Pendant toute la semaine où j'étais là il ne m'a pas lâchée, et m'obligeait pratiquement à tout ranger ce matériel chez lui, tuca, tuca, davai, par mesure de sécurité, me taxant au passage de 300 levas après avoir réussi en se tordant les yeux à évaluer le contenu de mon sac, et encore une centaine de levas parce que se belle fille devait se faire opérer d'une hernie. cest contagieux ça. ce qui m'as mis fortement la rage et on a pris la décision depuis de ne plus jamais rien lui donner.

Cette année il cultivait des cornichons, les récoltait le matin, ou plutôt sa femme pliée en deux pieds nus dans son champ, lui se contentant de transporter les seaux. Donc disais-je il cultivait ses cornichons et ensuite il fallait aller les vendre au marché.

Et qui faisait le chauffeur tous les deux jours pour aller vendre les cornichons. pour le marché, passe encore mais partis à 7 heures le matin on ne rentrait jamais avant dix heures, il fallait aller ici où là, chez son fils, chez sa soeur, na prava, na lieva, davai, davai, l'attendre quand il allait au bar dépenser les 4 levas qu'il avait gagné .

Et toujours prête moi ci, prête moi ça, les outils. de l'argent. se servant lui-même à boire dans le frigo, où. au cours d'une visite chez le médecin, se faisant prescrire de l'aspirine sur notre ordonnance. Mieux encore, il nous dit qu'il faut se dépêcher de commander le bois à la mairie, c'est le moment et c'est moins cher et il en profite au passage pour qu'on lui paye le sien. mais là ça n'a pas marché, on a payé le notre mais pas le sien, non mais.

Mon mari commençant à en avoir marre de lui lui à dit de garder ses distances et de nous foutre la paix alors il a trouvé autre chose.

Il est arrivé chez nous l'autre jour avec un belge parlant plus ou moins bulgare pour qu'il nous traduise ses doléances. Il a gardé nos meubles pendant six mois dit-il. (souvenez vous 3 semaines en fait) et pour cela il ne nous demande pas moins que le tarif européen en vigueur, à savoir 1600 levas. comme il tient bien les comptes de tout ce qu'il nous a déjà demandé, il considère qu'on lui a déjà versé 700 levas et que on lui en doit encore 900.


Je suis bien élevée et polie, patiente et pacifique comme les natives de la balance qui ont horreur des conflits mais là j'ai trouvé ça un peu fort de chez fort, fort de roquefort, je n'ai pas supporté la chose, j'ai pensé que ça ne valait même pas la peine de discuter, que comme le disait si bien mon père, ce sont des histoires de "corne-cul", j'ai pris le monsieur par le col et je l'ai viré de chez moi

Le gitan, c'est plus mon pote

Effectivement, quelle histoire. On pense bien faire en aidant les gens et on finit un jour par tomber sur un profiteur.
Quand nous nous avons aménagé cet été, c'était un peu notre crainte ne connaissant même pas notre voisinage. ;Mais finalement, on est bien tombé. et bien entouré. Je dirais qu'on a même connu la situation inverse. Ce sont les gens qui sonnaient à notre porte pour nous donner un jour, un gâteau, un autre jour du lait de chèvre, ou des fruits ressemblant à des petites prunes. C'est toujours rassurant et nous avons distribué des cadeaux de bienvenue en retour (ils ont systématiquement refusé l'argent qu'on leur proposait).

J'espère que la situation s'arrangera un jour pour vous. Bonne chance Chantal!

Bonjour ,Chantal!
J'ai lu votre histoire et je pense que le probleme est que vous ne savez pas dire "non"
Il y a toujours des gens qui vont essayer de profiter de vous. Il faut quand meme proteger votre espace prive .
Si chaque fois vous vous laissez convaincre qu'il faut donner et aider il ne vont pas s'arreter et en plus le jour ou vous ne pouvez ou ne voulez plus le faire ils vont vous traiter de mechante et "sans coeur"
Bon courage!